INFOLETTRE
Ce qui est difficile, c'est que c'est un métier qui est un peu imprévisible dans le sens où il y a beaucoup de choses qu'on est capable de mettre en place pour planifier nos journées, mais il y a quand même toutes sortes d'imprévus qui peuvent arriver, comme « oups, il y a une nouveauté qui arrive, on est dans un marché actif, on ne veut pas en manquer, il faut qu'on se dépêche de planifier notre visite ». C'est sûr que cela vient s'ajouter à probablement déjà une planification que nous avions faite.
Il y a des incontournables, comme l'inspection en bâtiment, où nous voulons être présents, être là. Ça aussi, nous ne pouvons pas le planifier. Je pense que ce qui est difficile, c'est vraiment la continuité du métier. C'est un métier qui est 7 jours sur 7, où nous pouvons recevoir des appels et tout cela, malgré le fait que nous ayons parfois des remplaçants.
Nous sommes quand même toujours au cœur d'un dossier, donc nous n'avons pas le choix parfois. Il y a tout un tas de petites parcelles que nous connaissons, que nous savons « ah non, ça, on le sait, c'est important ». C'est vraiment un métier rempli de petites notions qui ne sont pas toujours facilement interchangeables ou interpartageables, je dirais.
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